Sports

Gold Cup.- Haïti – Honduras : 0-2 .


Très attendus par des milliers de fans suite aux deux belles performances réalisées respectivement devant l’Espagne et l’Italie en juin dernier, les Grenadiers ont raté leur entrée dans la Gold Cup 2013 en se faisant battre par le Honduras (0-2), mi-temps (0-1) au Redd Bull Arena de Harrison (New Jersey) au terme de la première journée du groupe B qui a vu également le match nul (2-2) entre les équipes de Salvador et de Trinidad.

Comme ce fut le cas face aux deux géants du football mondial (Espagne et Italie), les Grenadiers se sont fait cueillir à froid quatre minutes seulement après le coup d’envoi de la rencontre suite à un ballon perdu par Donald Guerrier. Pour l’occasion, Mario Roberto Martínez Hernández en a profité pour mettre en orbite Dario Martinez. La frappe splendide du droit de ce dernier a fait mouche, et Frandy Montrévil n’y peut rien.

Les Grenadiers ont dominé, raté plusieurs occasions de buts. Léonel Saint-Preux par fois, même cas de figure pour Hérold Junior Charles. On en reste là pour le score à la mi-temps. (1-0) en faveurs des Honduriens.

A la reprise, le sélectionneur haïtien a opéré trois changements surprenants. Il a remplacé respectivement deux des joueurs les plus en vue de la rencontre, Jeff Louis par Peguero (60’) et Yves Hadley Desmarets par Olrish Saurel (76’), et ce, au grand dam des fans qui assistaient à cette rencontre.

Le score reste malgré inchangé jusqu’à ce nouveau but inscrit par Marvin Antonio Chavez (78’) pour couper aux espoirs des Haïtiens. Ainsi, les Honduriens l’ont emporté par (2-0). Il s’agit de leur 12e victoire face Haïtiens en seize confrontations.

Parallèlement, le Salvador a été tenu en échec par Trinidad et Tobago (2-2) la nuit dernière, à la Red Bull Arena de Harrison (New Jersey). Rodolfo Zelaya a signé un doublé pour le Salvador alors que ce sont Keon Daniel et Kenwyne Jones qui ont marqué du côté des Trinidadiens. Dans l'autre match disputé, le Honduras a logiquement battu Haïti (0-2)

Lundi 8 juillet 2013

Red Bull Arena (Harrison/ New Jersey)

Haïti – Honduras : 0-2 Rony Dario Martinez Almendarez 4’ et Marvin Antonio Chavez 78’

L’équipe haïtienne : Frandy Montrévil (GK).- Wilde Donald Guerrier, Judelin Aveska, Méchack Jérôme, Jean Sony Alcenat.- Jean-Marc Alexandre, Peterson Joseph (Jean Eudes Maurice/56’), Hérold Jr Charles, Yves Hadley Desmarets (Olrish Saurel/76’).- Jeff Louis (Peguero Jean Philippe/60’) et Léonel Saint-Preux.

Réservistes : Kévin Pierre Lafrance, Kervens Fils Belfort, Jean Jospy Julien (GK), Monuma Constant Jr, Kim Jaggy, Ronald Elusma (GK), Ricardo Adé et Pascal Millien.

Classement

1-Honduras : 3 points 2BP – 0BC (+2)

2-Salvador : 1 point 2BP – 2BC (0)

-Trinidad & Tobago : 1 point 2BP – 2BC (0)

4-Haïti : 0 point 0BP – 2BC (-2)

Programme de la 2e journée

12 juillet 2013 au Sun Life Stadium

Salvador – Honduras :

Haïti – Trinidad :

 

Les Grenadiers en préparation à Montréal avant la Gold Cup

 

La sélection haïtienne de football doit effectuer pendant 17 jours, une tournée au Canada, plus précisément à Montréal et à Québec, en vue de peaufiner sa préparation avant de participer à la Gold cup, le championnat des nations de la Concacaf qui se déroulera aux États-Unis en juillet prochain.
Les Grenadiers doivent rencontrer pour la circonstance le 22 juin prochain l’Impact de Montréal, l’actuel leader de la conférence est de la Major League Soccer (MLS), au sein duquel jouent trois anciennes grandes figures de la Série A italienne, Alessandro Nesta, Marco Di Vaio et Matteo Ferarri.
Mise à part ce match contre l’Impact de Montréal, plusieurs d’autres rencontres sont prévues dans le cadre de cette tournée. En effet, l’équipe haïtienne doit rencontrer en match d’entrainement le 26 juin Montréal Outremont, une équipe semi-professionnelle de la ligue semi-pro sur le terrain de l’Université de Montréal. Le 25 juin, le Onze national visitera la ville de Québec, communément appelée la capitale nationale, et sera reçu par le très populaire maire de cette ville Monsieur Régis Labeaume. Au cours de cette visite à la mairie de Québec, la délégation haïtienne sera invitée par le Maire à signer le Livre d’or de cette ville.
Une rencontre est aussi programmée le 30 juin contre Royal Select de Beauport de Québec. Un dernier match d’entrainement est planifié pour le 4 juillet contre une autre équipe de la ligue semi-pro de la province du Québec (qu’il ne faut pas confondre avec la ville de Québec). Enfin, la délégation haïtienne devrait être reçue aussi par le Maire de Montréal pendant son passage dans la grande Métropole du Québec. Toutefois, l’équipe du Maire Michael Applebaum qui semble avoir déjà un calendrier très chargé, doit trouver une date avant toute confirmation.
Cette tournée de l’équipe haïtienne de football au Canada est coordonnée par Monsieur Célésomme Fanélus, Directeur général de la Ligue de soccer Auchem. Monsieur Fanélus dit avoir pris toutes les dispositions pour que cette tournée soit une réussite et compte sur la participation de la communauté haïtienne de Montréal. La délégation haïtienne établira son quartier général à l’hotel Auberge Universel de Montréal.
Guyto Rivière depuis Montréal guytoriviere@yahoo.fr



-TITO VILANOVA A FAIT HAUT LES MAINS SON RETOUR AU BARÇA


 Après deux mois passés à New York pour soigner une tumeur à la glande parotide, Tito Vilanova va effectuer comme prévu son retour en Espagne cette semaine. «Il va quitter la cité des gratte-ciel cette semaine pour retrouver la capitale de la Catalogne», a précisé le club dans un communiqué. Le Barça, leader de Liga et en quarts de finale de la Ligue des champions face au PSG, n'a toutefois pas indiqué si l'état de santé de Vilanova lui permettrait de reprendre immédiatement ses fonctions d'entraîneur. Son adjoint Jordi Roura pourrait assurer l'intérim sur le banc durant encore quelques matches. PETITE BIOGRAPHIE SUR CE DERNIER... Francesc Vilanova i Bayo, dit Tito Vilanova, né le 17 septembre 1968 à Bellcaire d'Empordà (Catalogne, Espagne), est actuellement l'entraîneur du FC Barcelone. Vilanova dirige l'équipe première à partir de la saison 2012-2013 en remplacement de Pep Guardiola. [modifier] Tito Vilanova rejoint La Masia à l'âge de quinze ans, il y fait notamment la connaissance de Pep Guardiola. Après un passage prometteur dans les équipes de jeunes du FC Barcelone entre 1984 et 1990, Vilanova, qui évolue au milieu de terrain, n'arrive pourtant pas à s'imposer dans le groupe professionnel et en équipe première des Blaugrana. Ainsi, après trois saisons avec la réserve (le FC Barcelone B), dont deux en Segunda División B, l'équivalent de la troisième division, il rejoint les rangs de Figueres, club de Segunda División à l'été 1990. Avec le club catalan, il dispute 72 matches et marque 6 buts en deux saisons. La saison 1991-1992 est d'ailleurs la meilleure dans l'histoire de ce modeste club de deuxième division qui atteint cette année-là la troisième place au classement, ratant de peu l'accession en Liga (défaite en play-offs face à Cádiz CF). À Figueres, il coïncide avec l'Américain Tab Ramos qui décrit Vilanova comme un joueur très méticuleux et passionné par tous les aspects tactiques du football, semblable en cela à Pep Guardiola1. En 1992, il signe au Celta Vigo, tout juste promu en Première division mais ne s'y impose pas jouant seulement 26 rencontres en trois saisons. Il retourne alors à l'échelon inférieur et signe successivement dans trois club de Segunda División : à Badajoz (en 1995), à Majorque (en 1996, saison où le club des Baléares obtient son accession en Liga) et à Elche en 1999. À 34 ans, il rejoint le club de sa région natale, l'UDA Gramenet et met fin à sa carrière de joueur à l'issue de la saison 2001-2002 après un parcours gâché par de nombreuses blessures. En 14 ans de carrière, il n'a finalement connu que 26 matches en première division, lors de son passage au Celta Vigo de 1992 à 1995. Carrière d'entraîneur[modifier] Débuts[modifier] Après avoir travaillé comme directeur technique au Terrassa FC, Tito Vilanova revient dans son club d'origine le FC Barcelone et entraîne durant quelques mois en 2002-2003 l'équipe des cadets du centre de formation catalan, La Masia. Il côtoie dans cette équipe de futurs talents qui feront les beaux jours des Blaugrana : Piqué, Fabregas et Messi entre autres. Adjoint de Pep Guardiola[modifier] Tito Vilanova devient en 2007 l'adjoint de Pep Guardiola, entraîneur du FC Barcelone B, qui évolue alors en Tercera División, le quatrième échelon du football espagnol. En 2008, ils permettent à leur équipe d'accéder à la Segunda División B, la troisième division de la péninsule. C'est alors qu'ils sont sollicité pour prendre en main l'équipe première, remplaçant ainsi les Néerlandais Frank Rijkaard et Johan Neeskens en mai 2008. La première saison de Vilanova au Camp Nou auprès de Pep Guardiola est la plus réussie de toute l'histoire du FC Barcelone, puisqu'ils remportent un sextuplé inédit, permettant à cette équipe de devenir la première à gagner la Liga, la Coupe du Roi et les titres européens et mondiaux dans la même année2. De 2008 à 2012, Vilanova remporte 14 trophées au côté de Guardiola dont 3 Liga, 2 Ligues des Champions et 2 Coupe du monde des clubs. De nombreux observateurs du football espagnol donnent un grand rôle à Vilanova dans ces succès, l'assistant de Guardiola étant à l'origine d'une partie des schémas tactiques des Blaugranas et du contenu de leurs entraînements. Le 17 août 2011, Vilanova est au cœur d'un incident lors du match retour de la finale de la Supercoupe d'Espagne opposant son club au Real Madrid (sacre du Barça par une victoire 3-2), José Mourinho, l'entraîneur du club merengue met volontairement son doigt dans l’œil de l'adjoint barcelonais. Vilanova répond au Portugais en lui assénant une claque au visage. En 2011, Vilanova annonce qu'il est atteint d'une tumeur de la glande parotide. Il est opéré avec succès en novembre 2011. Entraîneur du FC Barcelone[modifier] Le 27 avril 2012, lors d'une conférence de presse, Josep Guardiola annonce qu'il quitte le club, Tito Vilanova est désigné comme son successeur pour la saison 2012-20133. Son contrat est de deux ans. Il prend Jordi Roura comme assistant. La première recrue de Tito Vilanova est le latéral gauche Jordi Alba. En août 2012, Vilanova obtient le recrutement d'Alex Song. Le 19 août 2012, le FC Barcelone de Tito Vilanova bat la Real Sociedad par 5 à 1 en championnat lors du premier match officiel de la saison. En août 2012, le Barça perd la Supercoupe d'Espagne face au Real Madrid, mais Vilanova signe le meilleur début de championnat de l'histoire du club avec six victoires en autant de rencontres. Il égale ainsi le record des anciens entraîneurs du Barça, James Bellamy (1929-1930), Johan Cruijff (1990-1991) et Louis van Gaal (1997-1998)4. Vilanova remporte son premier match de Ligue des champions le 19 septembre 2012 face au Spartak de Moscou (3-2). Le 1er décembre, lors de la 14e journée de championnat, Barcelone bat l'Athletic Bilbao 5 à 1 (dont deux buts de Lionel Messi) au Camp Nou au cours d'un match à sens unique. Avec cette victoire, la treizième pour un seul match nul, le Barça effectue le meilleur début de championnat de l'histoire du football espagnol, battant le précédent record du Real Madrid (saison 1991-1992)5. Après la 16e journée (15 victoires, 1 match nul), Barcelone est assuré d'être champion d'hiver et compte 16 points d'avance sur le Real Madrid (3ème) et 9 points sur l'Atlético Madrid (2ème). Le 19 décembre, Tito Vilanova est hospitalisé d'urgence suite à une rechute de son cancer. Il est opéré le jour suivant. Vilanova est momentanément remplacé dans ses fonctions d'entraîneur par son adjoint Jordi Roura6. Le 6 janvier 2013, il fait son retour sur le banc pour diriger Barcelone face à l'Espanyol. À la fin du match, il affirme qu'il n'est qu'au début du processus de guérison et que le chemin est encore long. À la mi-janvier, il part à New York pour y recevoir un traitement de radiothérapie et chimiothérapie durant les mois de février et mars7. Le 13 janvier 2013, en battant Málaga, le FC Barcelone de Vilanova bat le record de points dans une phase aller de championnat avec 55 points sur 57 possibles (18 victoires, un match nul, aucune défaite). LE RACING CLUB HAITIEN, LE DOYEN FETE SES 90 ANS., 90 ans en bleu et jaune ! 1923 – 2013 (23 mars): quatre-vingt dix bougies pour le Racing Club Haïtien. Si le club bleu et jaune n’est plus ce qu’il était, il n’en reste pas moins vrai qu’il a marqué le football haïtien des quarante dernières années, avec notamment un titre de Concacaf des clubs champions et un nombre important de titres en coupe Pradel, compétition-phare, et pourvoyeuse en joueurs de talent pour l’équipe nationale. Deux saisons dans l’enfer de la 2e division et plusieurs passages à vide : le Racing plie et ne rompt pas retrouvant ses élans de gagneur pour s’imposer dans le peloton de tête du championnat national de première division. La génération actuelle des dirigeants veut remettre le club sur une nouvelle voie de succès en prenant toutes les dispositions adéquates. Elle bat le rassemblement des meilleures ressources humaines de la vieille famille du vieux lion et sonne le ralliement des membres du fan-club jaune et bleu. 90 ans : il s’agit de consolider les acquis, corriger les erreurs et ajuster les tirs. Et le Racing veut se montrer à la hauteur de cette tâche. Ad multos anos ! ETO'O, GRAND SAUVEUR DU CAMEROUN Absent lors des deux premiers matches du Cameroun dans ces éliminatoires pour le Mondial 2014 en raison d'une suspension infligée par sa Fédération, Samuel Eto'o a signé un retour fracassant en guidant les Lions Indomptables vers la victoire. L'attaquant de l'Anzhi a signé un doublé pour venir à bout du Togo (2-1). Il a tout d'abord ouvert le score sur penalty (42e). Et si les Eperviers, privés de Kossi Agassa et Emmanuel Adebayor, qui ont décidé de boycotter Didier Six, leur sélectionneur, ont égalisé par Womé avant la pause (45e+1e), Eto'o a enfilé son costume de sauveur en fin de match d'une belle frappe enroulée (80e). Ce succès permet au Cameroun de prendre provisoirement la tête du groupe I en attendant le match entre la Libye et la RD Congo ce dimanche. Dans les autres matchs, le Congo s'est imposé devant le Gabon de Pierre-Emerick Aubameyang sur le plus petit des écarts (1-0), grâce à un but de Christopher Samba. Les Diables Rouges, entraînés par le Français Kamel Djabour, signent leur troisième succès en autant de rencontres et s'envolent en tête du groupe E. Le Nigeria a de son côté bien failli se faire surprendre sur sa pelouse par le Kenya, mais a sauvé le point du match nul (1-1) dans les arrêts de jeu, pour conserver de justesse la première place du groupe F devant le Malawi, surprenant vainqueur de la Namibie à l'extérieur (1-0). ET DE L'AUTRE COTE, L'ARGENTINE ET MESSI EN GROSSE BALLADE DE SANTE l'Argentine s'est débarrassée sans souci du Venezuela (3-0) et conserve quatre points d'avance en tête sur la Colombie, qui a écrasé la Bolivie (5-0), dans la zone Amsud des éliminatoires pour la Coupe du monde 2014. L'affront est lavé. Seule équipe à avoir battu l'Argentine dans ces éliminatoires pour le Mondial 2014, le Venezuela n'a pas pesé bien lourd pour le match retour au Monumental de Buenos Aires. Il faut dire que l'Albiceleste a pu compter sur un Lionel Messi très en forme. Le capitaine argentin a été impliqué dans les trois buts de son équipe, pour une victoire sans souci (3-0). Le quadruple Ballon d'Or a délivré deux passes décisives pour Gonzalo Higuain (28e et 58e), prenant le temps entre les deux réalisations du Madrilène d'y aller également de son but, sur penalty, juste avant la mi-temps (44e). Egalement titulaire, le Parisien Ezequiel Lavezzi n'a pas marqué avant de céder sa place à l'heure de jeu. Grâce à ce facile succès, l'Argentine conforte sa place de leader avant un déplacement toujours compliqué à gérer en Bolivie, mardi, sur les hauteurs de La Paz (3600 mètres d'altitude). La Colombie déroule, l'Uruguay patine Les joueurs d'Alejandro Sabella retrouveront une équipe soucieuse de se racheter après l'humiliation infligée par la Colombie. Les Cafeteros n'ont fait aucune pitié devant la Bolivie en s'imposant largement 5 à 0. Falcao n'a inscrit qu'un but dans le festival des siens. La Colombie chipe du coup la deuxième place de cette poule unique, mais reste à quatre points de l'Argentine. Seul poids lourd en difficulté : l'Uruguay. L'Albiceleste a dû se contentent du partage des points sur sa pelouse contre le Paraguay, pourtant lanterne rouge (1-1). Luis Suarez a pourtant ouvert le score en fin de match (82e). Mais Benitez a égalisé dans la foulée (86e). Ce match nul permet toutefois à l'Uruguay de dépasser le Venezuela au classement et de grimper à la 4e place, soit la dernière qualificative directement pour le Brésil. Mais elle devra se montrer plus convaincante dès mardi face au Chili pour espérer la conserver.

Aucun commentaire: